Estelle FRANCE

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    Bonne synthèse lucide – Xavier Bazin
    Santé Corps Esprit – la lettre

    L’Occident est-il en train de se tirer une balle dans le pied avec les vaccins anti-covid ?
    Cher(e) ami(e) de la Santé,

    Comme prévu, l’Agence européenne du médicament a donné son feu vert au vaccin AstraZeneca, malgré les alertes sur ses effets indésirables graves.

    Je dis « comme prévu », car cette agence est criblée de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique.

    Sa propre directrice, Emer Cooke, a travaillé dans les années 1990 comme lobbyiste de Big Pharma, au sein de l’Association européenne des groupes pharmaceutiques.

    C’est sous sa direction que l’Agence européenne a autorisé le remdésivir à l’été 2020, un médicament inefficace et dangereux, mais porté par la puissance du laboratoire Gilead.

    Avec AstraZeneca, l’Agence européenne est même allée jusqu’à affirmer faussement que les accidents de coagulation sanguine (qui ont causé des morts) n’étaient pas liés au vaccin…

    …alors que les autorités scientifiques norvégiennes, elles, ont conclu exactement le contraire, avec une certitude totale [1] !

    Décidément, je pense que l’Occident perd la raison avec les vaccins anti-Covid.

    Dans l’Union européenne, le passeport vaccinal est déjà programmé pour le mois de juin [2].

    Aux États-Unis, le « patron » de la réponse sanitaire parle maintenant de vacciner les enfants de 6 mois et plus [3] – et le laboratoire Moderna est déjà en train de tester son vaccin sur des bébés [4].

    En Israël, le Premier Ministre Benjamin Netanyahu a reconnu qu’il se préparait à l’éventualité de « revacciner tous les 6 mois », contre les variants.

    Est-ce bien raisonnable ?

    Faut-il rappeler à qu’on est encore au début de l’essai clinique de phase 3, avec ces vaccins expérimentaux (cette phase 3 ne se terminera qu’en 2022) ?

    Faut-il rappeler qu’il s’agit de technologies nouvelles (ARN messager et adénovirus OGM) qui n’avaient encore jamais été expérimentées massivement sur des populations et qui n’ont rien à voir avec les vaccins traditionnels ?

    Il faut savoir qu’à ce jour, nous n’avons toujours aucune preuve scientifique définitive :

    Que ces vaccins réduisent le risque de cas sévères et de morts de la Covid-19 ;

    Et que ces vaccins réduisent le risque de transmission de la Covid-19.

    Et bien sûr, on n’a aucune preuve qu’ils sont sûrs et sans effets indésirables graves.

    C’est vrai pour AstraZeneca comme pour Pfizer ou Moderna.

    Je rappelle que les essais cliniques réalisés sur ces trois vaccins étaient trop limités pour pouvoir détecter un effet indésirable très grave dans 1 cas sur 5 000 ou 10 000.

    Si, par hypothèse, le vaccin tuait 1 patient sur 10 000 – par exemple d’embolie pulmonaire ou d’hémorragie cérébrale – on ne pourrait pas le savoir avec les essais cliniques réalisés !

    Et le drame, c’est qu’après coup, une fois la vaccination lancée, c’est encore plus difficile à prouver.

    Car on peut toujours discuter à l’infini de la relation de « cause à effet » entre le vaccin et l’effet indésirable.

    Je rappelle que l’Agence du Médicament a nié tout lien avec le vaccin dans le cas d’un homme mort seulement 2 heures après son injection [5] !

    Un étudiant en médecine de 24 ans, jusqu’alors en pleine santé, vient de mourir d’une thrombose à peine 10 jours après avoir reçu le vaccin AstraZeneca, et les médias prétendent contre toute évidence que « rien ne permet de faire le lien entre le décès et le vaccin » [6] !

    Donc, au moment où je vous écris, le bénéfice de ces vaccins est incertain… et leur risque mal connu.

    Avec une telle incertitude sur le « bénéfice-risque », on devrait quand même avoir le droit de poser des questions !

    Mais non.

    Plus aucune critique n’est admise, parce qu’on a fait croire aux gens que le vaccin était la seule solution pour le « retour à la vie normale ».

    Résultat : ceux qui jettent le doute sur l’intérêt de la vaccination sont perçus comme de dangereux énergumènes, qui risquent de décourager les gens à se faire vacciner, et donc prolonger (soi-disant) le cauchemar du confinement et des restrictions !

    C’est diabolique, et très efficace pour décourager la critique des vaccins.

    Mais c’est faux, archi-faux.

    Comme le dit le Pr Raoult depuis le début, les vaccins ne sont jamais une « baguette magique » pour stopper une épidémie.

    Au mieux, les vaccins représentent un des « outils » qui pourraient permettre de limiter le nombre de morts.

    Au pire, les vaccins sont peu efficaces, avec des effets indésirables graves.

    Il y a même un scénario catastrophe où ces vaccins pourraient causer des virus « super-mutants » dévastateurs pour l’humanité (je vous en reparle à la fin de cette lettre) !

    Quoi qu’il en soit, il est évident que nous n’avons pas besoin de vaccins contre la Covid-19 pour retrouver une vie normale.

    La Suède a une « vie normale », sans masque, sans confinement et avec les restaurants ouverts, sans avoir eu besoin du vaccin.

    En France, on pourrait revenir à une vie normale demain matin, sans le moindre risque pour nos hôpitaux, si seulement on faisait de la prévention (vitamine D) et du traitement précoce (ivermectine).

    Bref, les vaccins ne sont pas la clé du « retour à la normale », et on doit avoir le droit de les critiquer.

    Avant même le début de la vaccination de masse, on savait que ces vaccins seraient inefficaces sur les variants – donc très peu utiles.

    Mais depuis quelques semaines, on en sait davantage sur leur impact réel.

    Avec ces nouvelles informations, il est clair qu’il y a 4 gros problèmes avec ces vaccins :
    Problème (1) : ces vaccins semblent augmenter la transmissibilité et la létalité du virus dans les premières semaines

    Personne n’ose en parler dans les médias, à part la courageuse chercheuse Alexandra Henrion-Claude, ancienne directrice de recherche à l’INSERM [7].

    Mais le début de la vaccination de masse a coïncidé un peu partout avec un phénomène TRÈS troublant.

    Figurez-vous que les pays qui ont vacciné le plus massivement et le plus rapidement ont tous connu un énorme pic d’infections et de mortalité.

    Regardez les courbes de décès dans les 3 pays qui ont le plus vite vacciné : 1) Israël, 2) Émirats Arabes Unis et 3) la Grande-Bretagne :
    image1

    En Israël, la vaccination de masse a commencé le 19 décembre : un pic encore jamais atteint de mortalité a été observé fin janvier
    image2

    Aux Emirats, la vaccination de masse a commencé le 5 janvier, à un moment de stabilité épidémique ; il s’en est suivi un pic jamais atteint de contaminations et de décès, à fin février
    image3

    En Grande-Bretagne, la vaccination de masse a commencé début décembre, à un moment de stabilité épidémique ; il s’en est suivi un pic encore jamais atteint de mortalité, à mi-janvier

    Au départ, j’ai pensé que c’était une coïncidence.

    Mais le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale [8].

    Même problématique, aussi, dans deux petites îles épargnées par la Covid… jusqu’à l’arrivée du vaccin (l’île de Man, dans la mer irlandaise et Bonaire, aux Antilles).

    Et que dire de ce qui se passe en ce moment au Chili ?

    Cela fait un mois que je regarde ce pays avec attention, car le Chili a réalisé depuis février une vaccination massive de sa population, à une vitesse similaire à celle d’Israël.

    Résultat : là-bas aussi, on observe soudainement une augmentation du nombre de contaminations et de décès (plus importante que chez son voisin argentin, qui n’a quasiment pas vacciné).

    Avec tous ces éléments, j’estime qu’il est probable que les vaccins aggravent la situation, avant (peut-être) de l’améliorer.

    Cela n’aurait rien d’étonnant scientifiquement :

    La logistique de la vaccination peut faciliter les contaminations, du fait des contacts avec les soignants (pensez à ce couvent de nonnes qui n’avait eu aucun cas positif, et qui a soudainement eu un cluster entier suite à la vaccination, peut-être parce que les vaccinateurs ont introduit le virus dans le couvent [9]) ;

    Les vaccins qui se donnent en deux doses peuvent risquer de donner des anticorps facilitateurs après la première dose : ce sont des anticorps qui ne sont ni assez nombreux ni assez puissants, et qui pour cette raison risquent d’aggraver le problème plutôt que de le résoudre ;

    Enfin, il est possible que les vaccins réduisent les symptômes sans diminuer la transmission, ce qui rend les personnes infectées plus à risque de transmettre le virus, car elles ne savent pas qu’elles sont contaminantes (on s’isole moins quand on n’a pas de symptômes et qu’on se sait vacciné).

    Bref, on ne sait pas si, les premières semaines, ces vaccins ne feraient pas plus de mal que de bien sur l’épidémie et la mortalité liées à la Covid-19 – ce qui serait le comble.

    Et même après la deuxième dose, on ne sait toujours pas à quel point ces vaccins sont efficaces contre les décès et hospitalisations :
    Problème (2) : ces vaccins n’ont clairement pas l’efficacité promise de 90 %

    Dès le départ, il était évident que l’efficacité de 90 % était une fable, un conte pour enfants.

    D’abord parce que les essais cliniques ont été manifestement manipulés pour obtenir le meilleur résultat possible [10].

    Et ensuite parce que les essais cliniques avaient inclus très peu de patients de plus de 75 ans… et aucun patient de plus de 85 ans.

    Or on sait depuis toujours que les vaccins marchent peu ou pas sur les plus âgés, ceux qui ont un système immunitaire défaillant.

    Donc même si les vaccins avaient vraiment une efficacité de 90 % sur les personnes jeunes et en bonne santé, il était clair que l’efficacité serait très inférieure chez les plus vulnérables.

    Et en effet, on n’a toujours pas observé d’effet majeur du vaccin sur la mortalité.

    Prenez la diminution du nombre de décès en Israël, après le grand pic du mois de janvier.

    Cette baisse est-elle liée à l’efficacité du vaccin ?

    C’est ce que vous disent tous les médias, en chœur.

    Mais ce n’est pas évident du tout.

    Voici l’évolution des décès, sur la même période, en Israël et dans des pays qui n’ont pas ou peu vacciné :
    image4

    Évolution du nombre de morts par habitant en Suède, Tunisie, Israël, Afrique du Sud et Suisse

    Voyez-vous une diminution spectaculaire du nombre de morts en Israël, par rapport aux autres ?

    Non ? Eh bien c’est le signe que les vaccins marchent peu ou pas pour éviter la mortalité.

    Cela devrait être évident pour tout le monde : si les vaccins avaient 90 % d’efficacité, cela se verrait comme le nez au milieu de la figure.

    Je rappelle que 90 % des Israéliens de plus de 70 ans sont vaccinés avec 2 doses depuis près de 2 mois… or 90 % des morts de la Covid-19 sont concentrés sur les plus de 70 ans.

    Donc, si le vaccin avait 90 % d’efficacité, il ne devrait quasiment plus y avoir de morts en Israël !

    Or non seulement la baisse du nombre de morts est similaire à celle de pays qui n’ont pas vacciné… mais au moment où je vous écris, Israël a encore toujours plus de morts qu’au début du mois de décembre !

    Bref, l’exemple israélien est tout sauf probant quant à l’efficacité des vaccins.
    Problème (3) : Au moins 50 fois plus d’effets indésirables graves que le vaccin contre la grippe

    Sur tous les vaccins expérimentaux (Pfizer, Moderna et AstraZeneca), le nombre d’effets indésirables graves est élevé.

    (A mon avis, la raison pour laquelle AstraZeneca a été pris pour cible est que ce vaccin n’a pas été autorisé pour les plus de 65 ans dans beaucoup de pays… ce qui a conduit à l’utiliser exclusivement sur des sujets jeunes, au système immunitaire plus vif et qui réagissent donc plus vigoureusement à la vaccination et ses effets indésirables).

    Des bases de données recensent les effets indésirables de tous les vaccins, en Europe et aux Etats-Unis.

    Elles ne sont pas parfaites, car ce sont des « signalements » spontanés, sans preuve de cause à effet.

    Il n’empêche : ces données montrent globalement 50 fois plus d’effets indésirables graves après les vaccins Covid qu’après les vaccins contre la grippe [11] ! Et beaucoup plus de décès !

    Il est donc évident que ces vaccins sont beaucoup plus risqués que ceux contre la grippe.

    Chez les jeunes de moins de 60 ans, qui n’ont pas grand-chose à craindre du coronavirus, le bénéfice-risque de ces vaccins est donc clairement défavorable.

    Ce n’est pas un hasard si les soignants eux-mêmes refusent de se faire vacciner, en France (un tiers d’entre eux seulement a accepté la vaccination !).

    Ils savent un peu mieux que les autres les risques du vaccin… et connaissent très bien le risque réel de la Covid-19 pour eux-mêmes.

    Cette réticence des soignants est d’autant plus révélatrice qu’ils ont plus de risques que la moyenne d’être infectés !

    Donc les personnels soignants, relativement jeunes et en bonne santé, ont clairement plus peur du vaccin que de l’infection, et ils ont raison !

    Le dernier problème n’est qu’une hypothèse… mais une hypothèse glaçante.
    Problème (4) : ces vaccins pourraient créer un ÉNORME risque pour l’humanité

    Je dis depuis des mois que la vaccination massive accélère le risque d’apparition de nouveaux variants qui échappent aux vaccins.

    Ce n’est contesté par personne.

    Comme le vaccin ne porte que sur un tout petit élément du virus (la protéine Spike), il y a de forts risques que des mutations se produisent sur cette protéine-là, ce qui crée un variant qui échappe au vaccin.

    Conséquence : même si ces vaccins étaient efficaces au départ, ils ne le seraient pas longtemps.

    Personnellement, cela ne me faisait pas très peur, car :

    On peut prévenir et soigner la Covid-19, quel que soit le variant, avec la vitamine D et l’ivermectine notamment ;

    L’infection naturelle crée une protection plus durable que celle de la vaccination, puisque les anticorps portent sur tous les éléments du virus, et pas seulement sa protéine Spike.

    Donc, en faisant de la prévention et du soin, l’épidémie devait de toute façon s’effacer au printemps, et ce coronavirus allait rejoindre tranquillement la liste des infections hivernales sérieuses mais gérables, comme la grippe.

    Mais un scientifique de renommée mondiale vient de lancer un cri d’alarme très inquiétant.

    Il s’agit du Dr Geert Vanden Bossche, un virologue belge qui ne peut pas être accusé d’être « anti-vaccin », puisqu’il a travaillé avec l’association GAVI (le regroupement des Big Pharma au sein de l’OMS) et la fondation de Bill Gates.

    Ce virologue a écrit une lettre ouverte à l’OMS publiée ce 12 mars 2021, intitulée : « Arrêtez immédiatement la vaccination de masse contre le Covid-19 » [12].

    Je le cite :

    « Ce type de vaccins prophylactiques sont complètement inappropriés, et même très dangereux, lorsqu’ils sont utilisés dans des campagnes de vaccination de masse pendant une pandémie virale.

    Les vaccinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme des brevets individuels, mais ne semblent pas s’inquiéter des conséquences désastreuses pour la santé mondiale. »

    Sa crainte est que la vaccination conduise « les variants circulants à se transformer en un monstre sauvage ».

    D’après ses calculs, la vaccination massive produira un « mutant » très différent du virus d’origine, à tel point que même ceux qui ont été infectés naturellement ne seront plus protégés !

    Si c’est le cas, ce serait en effet très problématique, car cela nous renverrait à la case départ de l’épidémie.

    En France, environ 30 % de la population au moins a déjà été infectée, ce qui nous prémunit contre les grosses vagues épidémiques du printemps (Ile de France, Grand Est) ou de l’automne dernier (PACA, Rhône-Alpes, Hauts-de-France…)

    Mais si un nouveau variant, apparu sous la pression de la vaccination massive, parvenait à échapper à l’immunité naturelle, on se retrouverait à nouveau face à un risque de débordement des hôpitaux !

    Ce n’est pas une théorie fantasque, et encore moins une théorie du complot.

    C’est ce que prévoient de grands experts comme le Dr Geert Vanden Bossche.

    Mais il y a aussi une autre « catastrophe », dont il ne parle pas, qui pourrait être causée par la vaccination de masse.

    Il s’agit du risque de « recombinaison virale », donnant naissance (elle-aussi !) à un « super-mutant » extrêmement dangereux.

    Je rappelle que les virus ont une capacité assez unique à se « recombiner » entre eux, de façon naturelle.

    Un des virus les plus connus au monde s’est d’ailleurs créé de cette manière. Il s’agit du virus de la grippe H1N1 de 2009, constitué de trois souches différentes de la grippe : une souche porcine, une souche humaine et une souche aviaire.

    Les recombinaisons sont peu fréquentes, car elles supposent qu’un organisme soit infecté par plusieurs virus en même temps, ce qui se produit rarement.

    Mais quand vous vaccinez une personne déjà infectée par d’autres virus, vous pouvez avoir plusieurs virus ou éléments de virus dans la même cellule, en même temps.

    D’où le problème des nouveaux vaccins ARN ou ADN : en insérant dans nos cellules le code génétique d’une partie du coronavirus, on prend le risque que ce fragment puisse se recombiner avec d’autres virus présents dans nos cellules au moment de la vaccination.

    Jusqu’à présent, je pensais que ce risque était « théorique », à la probabilité faible.

    Mais il y a un fait nouveau : des chercheurs britanniques viennent de détecter des virus recombinés [13] !

    Du coup, même des médias classiques comme Midi-Libre tirent la sonnette d’alarme :

    « Coronavirus : après les variants, faut-il s’alarmer de l’arrivée des recombinants ? » [14]

    Il s’agit ici de recombinants apparus « naturellement », mais c’est la preuve que le risque de recombinaison virale avec ce nouveau coronavirus n’est pas théorique.

    Au total, vous voyez que la vaccination massive n’est pas sans poser question !

    Prendre de tels risques serait sans doute acceptable face à une épidémie aussi mortelle que la peste noire.

    Mais face à la Covid-19, cela paraît absurde, parce que la létalité est faible et que nous avons des solutions simples et extrêmement efficaces en prévention et traitement.

    Si vous en doutez encore, je vous invite à lire cet article signé du Dr Ménat et du Dr Reliquet, sur le site de l’excellente l’association AIMSIB :

    Un monde sous ivermectine, essai d’anticipation

    Le cauchemar de la Covid-19 pourrait déjà être derrière nous.

    Le problème est que l’Occident, sous la pression de Big Pharma, a choisi de vacciner plutôt que de soigner.

    Bonne santé,

    Xavier Bazin

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